Voici un livre qui m'a énormément plut. Vous savez, c'est le genre de livre que l'on lit durant des heures. C'est le genre de livre qui nous passione et qui nous entraîne dans des mondes différents. J'aimerais pouvoir le partager avec vous, ou essayer de vous convaincre de le lire car ça n'est vraiment pas un livre comme les autres. Je vais vous réécrire le verso du livre (le résumé) et les toutes dernières pages qui m'ont le plus plut. Bien sur, je sais que cette histoire ne plairait pas à tout le monde mais je vais essayer. ( le coté à "l'eau de rose" présent dans le résumé n'est que superficiel dans le livre) C'est surtout pour ceux qui aiment les gros livres
(il fait 525 pages)
Fascination"Bella, seize ans, décide de quitter l'Arizona ensoleillé où elle vivait avec sa mère, délurée et amoureuse, pour s'installer chez son père, affectueux mais solitaire. Elle croit renoncer à tout ce qu'elle aime, certaine qu'elle ne s'habituera jamais ni à la pluie ni à Forks où l'anonymat est interdit. Mais elle rencontre Edward, lycéen de son âge, d'une beauté inquiétante. Quels mystères et quels dangers cache cet être insaisissable, aux humeurs si changeantes ? A la fois attirant et hors d'atteinte, au regard tantôt noir et terrifiant comme l'Enfer, tantôt doré et chaud comme le miel, Edward Cullen n'est pas humain. Il est plus que ça. Bella en est certaine."
Bella (Bella est le narrateur, c'est elle qui parle à la permière personne du singulier) et Edward sont au lycée, c'est la fin de l'année, il y a donc un bal. Bella n'est pas au courant mais Edward l'y invite. Vers la fin de la soirée, Edward entraine Bella dans le fond du parc sur un petit banc en pierre. (Il faut aussi préciser qu'Edward est une sorte de créature vampirique...)"-Très bien, confessai-je, j'espérais que tu avais changé d'avis et que... tu allais finalement procéder à ma transformation.
Diverses émotions traversèrent son visage. Colère, peur... Puis il parut se ressaisir, et l'amusement prit le dessus.
-Tu as cru que je porterais une cravate noire pour l'occasion ? se moqua-t-il.
Je me renfrognai pour cacher mon embarras.
-Je n'ai aucune idée sur la façon dont ces choses-là se font. En tout cas, ça me semble plus rationnel que pour un bal de fin d'année. Ce n'est pas drôle, ajoutai-je parce qu'il riait aux éclats.
-Tu as raison, ça ne l'est pas, admit-il en reprenant son sérieux. Mais j'ai préféré croire que tu plaisantais.
-Ce n'est pas le cas.
-J'en suis conscient,hélas. Tu le désires à ce point-là ?
La douleur était revenue dans ses prunelles. Je me mordis la lèvre et acquiesçai.
-Si prête à mourrir, murmura-t-il comme pour lui même. A connaître le crépuscule de ta vie, alors qu'elle a à peine commencé. A tout abandonner.
-Ce n'est pas une mort, c'est une renaissance, chuchotai-je.
-Je ne le mérite pas, souffla-t-il, chagrin.
-Te rappelles-tu le jour où tu m'as dit que je ne me voyais pas de façon très claire ? Visiblement, tu es atteint de la même cécité.
-Je sais ce que je suis.
Soudain, son humeur changea de nouveau. Plissant les lèvres, il me scruta un très long moment.
-Tu es prête, là, maintenant ? demanda-t-il.
-Euh... oui ?
Souriant, il inclina lentement sa tête jusqu'à ce que ses lèvres froides frôlent la peau de mon cou.
-Tout de suite ? chuchota-t-il, son haleine glaçant ma gorge.
Je ne pus retenir un frisson.
-Oui, répondis-je, tout bas pour que ma voix ne se brise pas.
S'il pensait que je bluffais, il allait être déçu. J'avais choisi, j'étais sûre de moi. Tant pis si mon corps était rigide comme une planche, mes poings serrés et ma respiration heurtée... Avec un rire sombre, il se recula. Il paraissait déçu.
-Tu ne crois quand même pas que je cèderais si facilement, railla-t-il.
-On a le droit de rêver.
-C'est donc ce à quoi tu rêves ? Devenir un monstre ?
-Pas tout à fait, répliquai-je, piquée pas l'emploi du mot. (Un monstre, non mais je vous jure !) Mon rêve, c'est surtout d'être avec toi pour l'éternité.
Son visage prit une expression à la fois tendre et mélancolique quand il perçut ma peine.
-Bella. Je resterai toujours avec toi, n'est-ce pas suffisant ?
Ses doigts dessinaient légèrement les contours de mes lèvres, et je souris.
-Ca ne l'est que pour l'instant.
Ma tenacité lui déplaisait. Aucun de nous deux ne comptait s'avouer vaincu, ce soir. Il poussa un soupir, presque un grognement. Je caressai son visage.
-Ecoute, continuai-je, je t'aime plus que tout au monde. N'est-ce pas suffisant ?
-Si ça l'est, admit-il en se détendant. Pour l'éternité.
Sur ce, il se pencha et posa une nouvelle fois ses lèvres glacées contre mon cou.Bon bah voila j'éspère que ça vous a plus et vous souhaitez le lire